Tops et Flops (Canaries 2025)

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Ce rallye des Iles Canaries a fêté sa première édition en championnat du monde et a proposé un défi différent des dernières épreuves asphaltes depuis les disparitions de la Catalogne et du Tour Course. Pour la septième saison consécutive, les tops et flops restent fidèles à leurs engagements chaque mercredi d'après rallye. Le principe reste le même avec trois catégories distinctes. Dans un premier temps, les "tops" mettent en avant les performances à retenir. À contrario, les "flops" pointent du doigt les déceptions du weekend. Le "ni ni" vient conclure cette chronique avec un élément qui aurait très bien pu figurer dans les deux catégories précédemment citées. Cette année encore, ce classement se veut purement subjectif et n'attend que vos avis aussi bien proches que contradictoires. Lesquels sont évidemment les bienvenus dans les commentaires en bas de l'article.

Tops :

1K.RovanperäLui-même considère que ce rallye a été l'un des meilleurs de sa carrière. Pour une telle démonstration, on aurait plutôt misé sur l'Estonie, la Suède ou la Finlande. C'est encore plus fort sur asphalte, terrain de prédilection de son coéquipier français.
2Y.RosselFavori n°1 sur cette surface, le Français a parfaitement assumé ce statut, et signe pour l'instant le début de saison parfait. À confirmer sur la terre.
3A.FourmauxAu milieu de la déroute des Hyundai, Adrien est parvenu à devancer ses deux coéquipiers champions du monde. Une sacrée performance pour son premier vrai rallye asphalte avec la i20.

Flops :

1HyundaiQuatre rallyes, aucune victoire, et une sacrée déculottée ce week-end. Après un Safari plus positif que d'habitude, le constructeur coréen est complètement passé à côté de son rallye avec un choix technique hasardeux.
2M-SportComme Hyundai, le team britannique n'a jamais trouvé de solutions pour améliorer la compétitivité de sa Puma. Un week-end à oublier avant trois rallyes de suite où le balayage devrait les aider à se montrer.
3S.PajariLe Finlandais était en train de faire une belle course en dominant Takamoto Katsuta. Alors qu'il semblait se diriger tranquillement vers la 4e place, le pilote Toyota s'est fait piéger à haute vitesse et a détruit l'avant de sa Yaris.

Ni ni : L'adversité

Pour cette première épreuve 100% asphalte, la bonne adaptation aux pneus Hankook a été évidemment déterminante. Si la bagarre en Rally1 n'a jamais été véritablement passionnante, les autres catégories ont au moins offert plus de suspense. En WRC2, Yohan Rossel a été dominant, sans écraser la course comme Rovanperä, alors que le WRC3 a permis aux Français de se bagarrer entre eux avec plusieurs rebondissements.

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