La technique en Chine : comment l'Alpine a-t-elle évolué ?

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LE PIRE DÉBUT DE SAISON DEPUIS 1985

Des hauts et des bas, l’écurie d’Enstone en a connu.

Ce début de saison est toutefois le pire que l’équipe ait vécu depuis 38 ans, quand son ancêtre s’appelait Toleman. Il faut en effet remonter à 1985 pour trouver un aussi mauvais début de campagne ‒ et encore : à l’époque, la structure artisanale avait déclaré forfait les trois premières manches, faute de fournisseur de pneumatiques !

Même au début des années 2000 quand Renault venait de racheter Benetton, même lorsque l’argent manquait en 2014 à l’époque de Genii, même lorsque l’équipe utilisait un châssis de la saison précédente en 2016, le “team Enstone” avait toujours réussi à marquer des points sur les cinq premiers Grands Prix. Pas cette année.

Avant-dernière au classement provisoire des constructeurs, Alpine traverse une période très difficile à cause d’une monoplace complètement ratée. En Chine, cependant, Esteban Ocon a terminé à la porte des points, au volant d’une A524 plus légère et dotée d’un nouveau fond plat. Pas de quoi faire des miracles, certes, mais Shanghai est la meilleure course de l’équipe à ce jour.

En mettant les bouchées doubles, Alpine est parvenue à produire un jeu d’évolutions une course plus tôt que prévu. Esteban Ocon en a bénéficié, alors que Pierre Gasly le recevra dans quinze jours à Miami.

CURE D’AMAIGRISSEMENT CHEZ ALPINE

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